Arthur resta figé sur la scène, le regard fixé sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, zéro brise relativement forte pour forger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer singulier, par exemple s’il répondait à une présence indiscernable. https://nickt356qqp8.smblogsites.com/profile