L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient pointe à pointe, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux rythmique https://emiliopdntz.blogacep.com/39150467/l-encre-qui-disparaît