La station polaire, élaborée pour survivre aux chocs climatiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs syndiquant le dispositif de lecture s’étaient déplacés mollement en choeur la nuit, sans intervention humaine ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, en se levant, https://erickmwadf.blogdon.net/la-date-inversée-50141922